skylie a écrit: En ce mmt et depuis longtps je supporte marseille et ce n'est pas parce qu'ils font un début de championnat plus que décevant que je vais les laisser tomber, ou partir d'un match soit disant tellement il est nul....
La tu galvaudes la définition du mot "supporter"... Tu peux avoir de la sympathie pour un club, mais se définir supporter, c'est pas concevable à partir du moment où tu vois aucun match de cette équipe.
Sinon, faudrait créer un topic sur ça... ça s'adresse à tout ceux qui supportent un autre club après (ou avant?

A partir de là, quand il n'y a pas de culture foot dans le département, c'est difficile de développer une certaine mentalité au stade, c'est pas nouveau.
Et c'est pas la dérive du foot qui a atteind même les divisions amateurs qui va aider à former cette base solide et en ce qui nous concerne changer la mentalité spectateur/consommateur du public local en supporter. A cela, il faut ajouter le problême de l'identité d'un club qui est difficile à cerner malgré un nom qui se voudrait rassembleur.
Pour retrouvez ces valeurs, y a qu'à remonter moins de 10 ans en arrière, le club s'appelait FC Gaillard, en DH, y avait 400 de moyenne voir plus (été comme hiver), le public était chaud bouillant, y avait pas de grillage, les supporters étaient à 1m de la ligne de touche (c'est pas pour ça qu'il y a eu des incidents) et là, le 12è homme jouait son rôle et sur le terrain, on voyait des guerriers, des mecs qui avaient pas fait les centres de formations, mais qui se donnaient, qui mettaient la boîte, pas comme les danseuses ( et je parle de façon général à ce qu'est devenu le footballeur aujourd'hui) qui passent leur temps le cul par terre à jouer les pleureuses.
Tout ces paramètres font qu'il y avait une osmose entre les joueurs et supporters et bizarrement aujourd'hui, tout semble opposé à cette période.
On est et on reste supporter, ce n'est pas parcequ'on critique à des moments, qu'on ne l'est plus, bien au contraire, et cet après-midi, comme à chaque rencontre, on souhaite une victoire des notres.